Les conditions sine qua non pour l’obtention des avantages relatifs au 3ème pilier sont explicitées par la législation suisse. Mais elles vous font subir pas mal de difficultés et offrent un vrai casse-tête. Toutefois, toute personne ayant l’intention de bénéficier de ce type de couverture doit avoir obligatoirement le droit au travail. Elle possède une devise avec un système de retraite en tant que travailleur frontalier. En outre, les personnes ayant bénéficié des allocations prévues par les deux premiers piliers peuvent prendre des engagements en ouvrant le 3ème.
Le 3ème pilier pour un travailleur frontalier
Les deux premiers piliers sont les droits fondamentaux dont vous pouvez bénéficier aux termes d’une souscription. Ils sont les bases du système de prévoyance pour toute la population helvétique. Toutefois, si vous exercez une profession en Suisse, vous profitez également des mêmes droits que les résidents vis-à-vis des 1er et 2ème piliers. Mais comme ils ne sont pas suffisants, le 3ème pilier pour les frontaliers est indispensable, comme ceux observés dans d’autres pays limitrophes de la Suisse.
Ces conditions sont nécessaires pour subvenir à vos besoins quand vous êtes parvenu à l’âge de la retraite, même en tant que travailleur frontalier. Le but est de préserver le même niveau de vie qu’auparavant. Mais il vous est recommandé d’effectuer une épargne retraite qui rend possible la souscription. De plus, le 3ème pilier pour les frontaliers permet la réduction d’impôt et une épargne en euros ou en francs suisses.
Qui peut souscrire un 3eme pilier pour son compte ?
En principe, une personne ayant atteint l’âge de 18 ans révolus est en droit de souscrire le dernier pilier du système de prévoyance suisse. A défaut de souscription au cours de cette période prévue par la loi, elle est encore possible 5 ans avant le départ définitif à la retraite. Les résidents en Suisse sont bénéficiaires de ces avantages. Mais le 3ème pilier pour les frontaliers est aussi une assurance pour leur survie après avoir cessé de travailleur en tant que travailleurs actifs.
Les prestations sur l’assurance-vieillesse et survivants qui prévoit un revenu lucratif, font bénéficier des conditions de souscription au 3ème pilier. En outre, les salariés comme les travailleurs indépendants et les personnes touchées de près par le chômage ne sont pas épargnés par cette possibilité de souscription. Vous figurez dans la liste des bénéficiaires du 3ème pilier si vous travaillez en Suisse même si vous résidez à l’étranger.
Banque ou assurance : le choix pour le 3ème pilier
Généralement, les banques sont plus prometteuses pour les avantages prévus par le 3ème pilier. Les règles concernant la souscription sont moins strictes. Le salarié peut effectuer le versement des cotisations sans être obligé de respecter et d’honorer les échéances suite à des situations imprévisibles qui interrompent momentanément le paiement. Le chômage ou la perte de revenu ponctuel peut donc devenir une cause qui influence l’arrêt du paiement.
En outre, vous pouvez choisir le montant de la somme à verser. Si un décès ou une incapacité survient à votre insu, le contrat conclu avec ce type de pilier donne la possibilité de gagner une prestation prévue par une assurance-vie. C’est l’assurance qui effectue le paiement des primes en cas d’incapacité de gain. S’il s’agit de décès et même si les primes ne sont pas payées entièrement, les héritiers reçoivent l’intégralité du capital.